MILI 2 - LES AGGRESSEURS ENTRENT EN ACTION

5 Novembre 2025

PRÉAMBULE

C'est le second épisode de la saga AGGRESSOR, dans une version entièrement nouvelle et réalisée sur MSFS 2020. Cette édition me convient davantage, car presque tous les ajouts d'appareils et de scènes y fonctionnent parfaitement. MSFS 2024 reste encore un peu imprévisible et ne dispose pas de la vaste collection d'add-ons que MSFS 2020 a accumulée au fil des années. Cela progresse, mais il y a encore beaucoup trop d'incompatibilités.

Comme dans MILI 1, des récits et des cartes viendront enrichir cette longue visite. Après RED FLAG NELLIS, la suite comprendra 3 articles : MILI 2 BONUS CAMOUFLAGES - MILI 3 RED FLAG ALASKA avec une visite des autres bases où sont stationnées les unités AGRS, notamment celles de l'US NAVY et du MARINE CORPS. Enfin, MILI 4 WORLD AGRS sera un tour du monde passant par l'Europe, l'Asie et même le Pacifique.

Grâce à MSFS 2020, je vais exploiter toutes les possibilités à ma disposition pour donner vie aux paysages de ce simulateur civil. Ce sera un peu comme DCS, mais sans les explosions spectaculaires. Il y aura bien quelques détails techniques mais l'ensemble est à suivre comme un grand reportage riche de chasseurs, d'avions de transport, de bombardiers etc.

Bonne lecture.

AMBIANCE

Avant de démarrer le programme et d'explorer les différents scénarios, profitons-en pour parcourir une partie du Nevada Test and Training Range (NTTR) pour nous familiariser avec sa géographie. Une excellente occasion d'apprécier le paysage et les reliefs grâce à un drone HVN-4B Global Hawk.

Pour cette séquence de reconnaissance, je ne vais pas suivre le plan de vol complet (carte 1). Je vais simplement prendre une trajectoire Ouest-Nord-Ouest pour rejoindre l'aéroport de Tonopah Test Range, où plusieurs MIGS ont été analysés et testés en vol à la fin des années 70. Il est tout de même à plus de 250 kilomètres.

Ce trajet permettra de profiter des magnifiques paysages de cette région du Nevada, offrant un aperçu de ce qui nous attend. Je ne vais pas m'attarder sur les différentes chaînes de montagnes ou les sites que nous pourrions survoler, car cela sera détaillé dans les séquences qui reproduiront divers vols. Le HVN 4B Global Hawk est un drone impressionnant, mesurant environ 15 mètres de long, près de 40 mètres d'envergure et 4,70 mètres de hauteur.

Tonopah Test Range (TTR) offre un soutien pour les essais de recherche et de développement des programmes d’armement du ministère de l’Énergie.

IN SIMU

LES FORCES EN PRÉSENCE POUR UN EXERCICE RED FLAG

Si les 64e et 65e AGRS sont les unités phares des forces rouges, elles ne participent jamais seules aux exercices programmés. En effet, d'autres unités stationnées à Nellis AFB s'y joignent à tour de rôle. Du côté de la Red Team, on trouve également des sociétés privées qui viennent y participer. Chaque session est ainsi d'une composition différente, en fonction du thème tactique.

Les 64e et 65e Escadrons Aggressors adoptent le code WA.

On ne peut pas considérer le F-22 Raptor de NELLIS AFB comme un avion 100 % AGRS, mais il participe avec les Forces rouges à représenter la menace des avions de supériorité aérienne de cinquième génération (chinois et Russes). Intégré au 422e Escadron d'essai et d'évaluation (code OT) qui est un escadron composite (plusieurs types de chasseurs), il vole en coordination avec les AGRS.

IN SIMU

Le 422nd AGRS a testé le tout nouveau T-7 Red Hawk, un avion d'entraînement transsonique à réaction destiné à remplacer les légendaires T-38 Talon. Développé en collaboration avec Saab, le constructeur suédois, cet appareil sera de plus en plus utilisé sur les bases de l'USAF.

Le T-7A a été pour intégrer de futures missions, comme celles d’agresseur ou de chasseur léger/attaque. En environnement d’entraînement, il est spécifiquement adapté aux manœuvres à haute gravité, aux angles d’attaque élevés et aux opérations nocturnes, tout en mettant l’accent sur une maintenance simplifiée. Doté d’un unique turboréacteur GE F404, il offre une poussée trois fois supérieure à celle du biréacteur T-38

Le 527th Space Aggressor Squadron est lié au 26th Space Aggressor Squadron, qui a été relocalisé. Il s'agit d'une unité relevant du commandement de la réserve de l'armée de l'air.

Pour compléter et bien comprendre cette organisation unique, il faut citer l'USAF Weapons School dont les unités participent à Red Flag et sont souvent intégrées à la Red Team.

L'USAF WS est une vaste structure regroupant plusieurs divisions, chacune portant (ou ayant porté) le nom de l'avion qu'elle utilise, comme les divisions F-15E, A-10, F-16, F-35A, etc. Les cours sont spécifiques. Une organisation impressionnante, surtout lorsqu'on la compare à ce que l'on trouve sur notre vieux continent.

Voici l'essentiel à retenir (et c'est déjà beaucoup) de tout ce qui entoure cet exercice. Passons maintenant aux captures d'écran dans le simulateur. Je vais procéder de la manière suivante :

La section sur la participation des avions français à divers exercices Red Flag (séquence nostalgie).
Les appareils qui ont pris part ou prennent part à la Force bleue. USAF, US NAVY, MARINE CORPS, ALLIÉS.
Des scénarios (avec des simulations) qui se déroulent au-dessus des zones R-4806, 4807, 4809, MOA A-A.

SEPECAT JAGUAR A

Figure de l'Armée de l'air, le Jaguar a été un monoplace d'attaque qui aura eu une belle carrière. Déployé régulièrement en Afrique et ayant participé à la guerre du Golf, il est aussi lié aux opérations de la guerre de Bosnie et Kosovo. Cet appareil pouvait tout faire : assaut conventionnel et de précision, attaque anti-radar, frappe nucléaire tactique, reco et guerre électronique. Comme une légende !

Pour rejoindre Red Flag, il devait accomplir un véritable périple.

IN SIMU

Ce Jaguar A porte les couleurs de l'escadron 1/11 Roussillon, qui était basé à Toul jusqu'à la dissolution de la 11e Escadre en juillet 1994. On peut dire que cet escadron a toujours côtoyé des légendes, puisqu'avant de passer au Jaguar, il volait sur F-100 Super Sabre. Cela me rappelle mes débuts, lorsque je photographiais les F-100 sur la base de N'Djamena (Tchad) en...1978.

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Le missile AS 37 Martel, développé pour le Jaguar A, était un système anti-radar de surveillance équipé d'un guidage par TV ou radar passif. Sa portée variait entre 38 et 150 kilomètres, selon l'altitude de lancement.

MIRAGE F1 CR

Lors de ses passages à Red Flag, le Jaguar a pu être accompagné du Mirage F1 CR qui ouvrait la route et lui donnait un coup de main pour la désignation des objectifs.

Le Mirage F1 est aux abonnés absents chez les développeurs. Azurpoly s'est intéressé au jaguar mais celui-là je trouve qu'il manque cruellement. Pour la version CR et CT, il a fait l'objet d'un petit add-on chez flightsim.to qui est correct dans l'ensemble. On peut également le trouver dans la livrée des sociétés privées américaines ATAC et DRAKEN qui lors de contrats participent à des exercices Red Flag en déployant divers avions qui servent de plastron.

Le F1 CR était un avion de reconnaissance tactique doté d'une caméra panoramique Oméra 40 et d'une caméra verticale Oméra 33. Capable de voler par tous les temps, il a participé à toutes les opérations, tout comme le Jaguar. Retiré du service en 2014. Un autre appareil est livré dans l'add-on, c'est le Mirage F1 CT, une version modifiée du F1C- 200 Chasse pour en faire un appareil d'assaut tactique. Au lieu d'avoir une cellule photo sous le nez, il est équipé d'un désignateur laser dans un carénage. Le F1 CT a été retiré du service en 2012.

La petite coquille semble indiquer l'appartenance de ce F1 CR à l'escadron 3/33 Lorraine, qui volait, sauf erreur, sur Mirage F1 C. J'ai opté pour le camouflage...

Celui qui arrive est plus précis pour l'affectation, car il s'agit d'un F1 CR du 2/33 Savoie qui était stationné à la BA 112 de Reims.

MIRAGE 2000 C/D

La valse des livrées et des escadrons !

MIRAGE 2000 N en route pour aller larguer 2 bombes guidées laser GBU-12 sur un aérodrome fictif du NTTR.

RAFALE

Si les avions de combat sont au cœur des débats, il ne faut pas oublier tout ce qui gravite autour. Les personnels avec leurs spécialités et compétences permettent à l’outil de fonctionner à plein régime et à la mission d’être accomplie. Renseignement, pistards, sécurité, santé, etc. Ce sont des hommes et des femmes qu’il faut projeter (souvent très loin) avec tout le matériel indispensable pour entretenir et/ou réparer.

On pouvait compter sur les avions de transport tactique comme le Transall à son époque, l'Hercules C-130H et J(version rallongée) toujours en service, ainsi que sur les ravitailleurs comme le KC-135FR de la Force Stratégique, qui ne se contentent pas de ravitailler mais transportent aussi passagers et fret. L'A-400M commence sa carrière et on le verra sûrement tôt ou tard à Nellis. L'A330 MRTT remplace les KC-135FR, dont les trois derniers exemplaires ont quitté le service cet été 2025. Images :

Quelques images d'appareils ayant participé ou peuvent participer aux exercices RED FLAG. Cela représente diverses nationalités ainsi que les États-Unis, incluant l'USAF, la Navy et le Marine Corps.

Je ne vais pas essayer de tout détailler mais voici quelques moments capturés dans le simulateur avec quelques montages photo. Tout n'est pas exact au niveau des unités déployées mais ce qui m'intéresse c'est le pays d'appartenance et la livrée de l'appareil choisi.

C'est l'appareil clé de l'exercice Red Flag : le E-3 Sentry. Ce système aéroporté d'alerte et de contrôle appelé AWACS (Airborne Warning & Control System) joue un rôle crucial. Il surveille le NTTR pour détecter les avions ou objets aériens à grande distance, agissant comme un vecteur de commandement essentiel. Ce sera le dernier à se poser. Lors des exercices, on peut aussi déployer le Boeing EC-135 ou celui qui est son successeur, le Boeing E-6 Mercury (dérivé du 707 civil).

F-15

F-16

F-18

F-35

Le F-35B est la variante à décollage et atterrissage vertical du F-35 (STOVL). Conçu pour être embarqué sur les porte-aéronefs, il n’a pas besoin de catapulte. Le F-35C a besoin d'un catapultage et effectue des appontages horizontaux. Il est d'une envergure supérieure aux deux autres (plus de carburant, structure renforcée, extrémité de voilure repliable).

AUTRES NATIONS + APPAREILS

Qu'elles soient récentes ou anciennes, de nombreuses machines ont traversé le ciel du Nevada. Certaines versions restent en service, alors que d'autres ont été retirées (surtout en Europe). Elles ont été largement exploitées et très performantes comme le Tornado ! Des chasseurs purs, des multi-rôles, entraînement, bombardiers, Surveillance et Électronique...tout y passe.

Avec un Rafale abattu par l'aviation pakistanaise lors de l'opération Sindoor, notre cher avion Marcel Dassault n'est peut-être pas aussi invincible qu'on veut nous le faire croire... Une histoire de pilote, en tout cas !

On continue avec quelques appareils qui à leur époque, ont fait des passages à Nellis, ainsi que d'autres incontournables de l'US AIR FORCE ou de l'US MARINE CORPS que l'on peut encore croiser aujourd'hui.

Le Harrier est le premier avion d'attaque à voilure fixe VSTOL. Il peut opérer depuis de petites surfaces, des pistes courtes, des porte-aéronefs ou même des terrains non préparés (votre jardin, s’il est assez grand). Le dernier modèle, le Harrier II ou AV-8B, a été largement utilisé par le US Marine Corps. Il reste encore en service, notamment à cause des retards pris par le F-35C.

Ce petit avion d'attaque au sol, de reconnaissance et de guidage d'artillerie a brillé à Nellis. En Colombie, il a participé à la lutte contre les narcotrafiquants.

Avant de passer à plus lourd, voici l’un des avions préférés des passionnés de DCS. Dans MSFS, il est plaisant à piloter, même s’il lui manque la capacité de cracher du feu ! La livrée "phacochère" est la plus populaire, car elle lui va à merveille. Cet avion reste un soutien exceptionnel pour les troupes au sol, conçu à l’origine pour détruire les cohortes de chars du Pacte de Varsovie dans les vastes plaines d’Europe centrale.

Le Warthog arrive probablement en fin de carrière, bien qu’il soit prévu de l’utiliser jusqu’en 2030. Aujourd’hui, seuls les avions multi-rôles ont la préférence. Le A-10, quant à lui, n’a jamais été conçu pour être polyvalent, car il excelle uniquement dans l’attaque au sol. Les unités qui utilisent cet avion sont encore nombreuses, mais ce sont principalement la réserve aérienne et la garde nationale de l’US Air Force qui l’exploitent.

ZONE SECRÈTE

BOMBARDIER STRATÉGIQUE

POSTE DE COMMANDEMENT ET CONTRÔLE

MSFS ne propose pas d’E-6 et d’E-8 dans le hangar. C’est dommage !

RAVITAILLEMENT

FORCES D'AGRESSION CONTRACTUELLES

Ces entreprises privées récupèrent des avions retirés du service par certains États qui les revendent. Parmi ces appareils, on trouve des A-4 Skyhawk, des L-39 Albatros, des L-159 (initialement fabriqués en Tchécoslovaquie), d'anciens F-16A des Pays-Bas, M339 italiens ainsi qu'une importante flotte de Mirage F1-CR et CT achetés à la France, pour ne citer que ceux qui volent régulièrement à Nellis AFB. On peut donc parler d'un marché très fructueux.

Cela aide l’US Air Force et l’US Navy à préserver leurs avions, dont l’entretien est déjà très coûteux. Faire appel à des pilotes externes permet aussi aux pilotes de l’armée américaine de se concentrer sur d’autres missions ou de rester en alerte pour le combat.

Dans cette dernière section de l'article, le NTTR est mis en avant et à partir de cette étape, vont figurer l'armement sur les avions retenus pour aller survoler les différentes zones. MSFS ne se prête pas trop à ces démonstrations car il y a une convention avec Microsoft qui peut simplement autoriser à ce que les éditeurs apportent un peu de réalisme sans devenir un simulateur guerrier...

La journée commence par les décollages des E-3 Sentry AWACS et des EC-135, E-6 ou E-8, qui assureront le commandement et le contrôle au-dessus de la zone.

SÉQUENCE 1

Armement embarqué : 2 bombes guidées laser GBU-12 (les plus courantes) + 2 AGM-88 HARM (missiles antiradar à grande vitesse) + 2 missiles air-air AMRAAM. Une nacelle de contremesures électronique AN/ALQ-131sous l'appareil.

Bien sûr, dans MSFS, l'utilisation d'armements n'est pas possible, et tout contenu montrant des armements sur les avions militaires est soumis à une convention avec des restrictions mises en place par Microsoft.

Sur le MSFS Marketplace, les systèmes d’armes ne sont entièrement accessibles, ils le sont via des produits vendus par des distributeurs tiers. Je me contenterai donc de préciser où et contre quoi le F-16D pourrait intervenir, ce qui sera abordé dans la seconde séquence.

Indian Spring est à 65 kilomètres, ce sera donc très rapide !

CREECH AFB est en vue.

On redécollera en début d'après-midi pour une mission dans le secteur R-4806W. En attendant quelques vues de visiteurs et unité locale (USAF - US NAVY-US - MARINE CORPS - US ARMY etc.).

SÉQUENCE 2

Une simple simulation d'attaque contre des objectifs répartis à l'intérieur de la vallée des 3 lacs qui débute au sud par l'aérodrome aménagé de Dog Bone Lake et un axe plein nord entre les montagnes. Un vol sur environ 125 kilomètres qui nous emmène jusqu'à hauteur de la fameuse zone 51(Groom Lake).

Une bombe guidée laser (BGL) est une munition capable d'ajuster sa trajectoire pour frapper une cible marquée par un spot laser émis par un désignateur. Utilisée dans l'armement air-sol, elle consiste généralement en une bombe classique équipée d'un capteur de cible laser et d'un système de guidage.

On est à 30 kilomètres de la base de Creech.

On est à 60 kilomètres de la base de Creech.

Guidage : portée 48 Km

L'avant du missile est équipé d'un détecteur d'émissions radar, régulièrement mis à jour à l'entrepôt en fonction des menaces potentielles. Le missile dispose de trois modes de fonctionnement :
- Mode opportuniste : il est tiré sans cible précise et verrouille une cible rencontrée en vol ;
- Mode classique : il est dirigé vers un radar avant de le verrouiller ;
- Mode autodéfense : il est tiré sur une cible déjà verrouillée.

Une fois la cible verrouillée, le missile suit le faisceau radar jusqu'à l'émetteur. Si l'émetteur détecte la menace et s'éteint, le missile poursuit sa trajectoire en guidage inertiel, avec une précision réduite. En cas de tir sans cible verrouillée, s'il ne trouve aucun émetteur, il s'autodétruit.
On est à 85 kilomètres de la base de Creech.

Un screen tiré de DCS !

Durant cette séquence, nous avons parcouru 110 kilomètres. Retour à Nellis AFB pour le F-16D pas inquiété durant sa mission fictive par les agresseurs 😎 On est tout proche de la zone 51, sans la survoler !

KXTA : une scène très réaliste disponible sur Flightsim.to, qui vaut la peine d'être explorée avec la caméra drone pour découvrir de petites séquences animées. Du côté du U-2, c'est vraiment hilarant : le pilote, assis sur une chaise, se fait sermonner par son Big Boss !

SÉQUENCE 3 : QUELQUES PARTICIPANTS A RED FLAG

Voici quelques appareils engagés dans des missions Air-Sol au-dessus de R-4807 ou R-4809, à haute altitude ou en vol rasant. Plusieurs appareils de l'US AIR FORCE, du US MARINE CORPS et des ALLIÉS qui cherchent leurs cibles. C'est l'avant dernière séquence.

Dans MSFS, les armes se manifestent lorsqu'on ajuste les paramètres d'emport (poids en kilos ou livres), que ce soit au sol ou en vol.

Aussi, je ne vais pas m'étendre sur une interminable description détaillée des munitions Air-Sol équipant les divers aéronefs. Toute la gamme moderne peut être montée sur les différents pylônes, avec une prédominance pour les bombes classiques et celles guidées par laser.

Le cas échéant, on n'oublie pas les missiles Air-Air en cas de mauvaise rencontre !😎

On peut désormais passer à la dernière séquence de ce MILI 2 RED FLAG avec quelques vues dans la partie chasse pure du MOA Air-Air.

Après le briefing, c'est le départ pour les duels !

FORCE BLEUE

FORCE ROUGE

Je termine ce MILI 2 avec ces dernières images, qui, vous l'aurez deviné, sont des montages. J'ai pris beaucoup de plaisir à réaliser ce deuxième épisode, mais il faut garder le rythme car la saga continue. Le prochain article portera sur les livrées particulières des AGGRESSORS et leur rôle dans l'identité de ces unités, peu importe le pays utilisateur.